• Moment de plaisir et d'équilibre, gage de forme pour vos bout de chou, ne rater pas ces deux étapes indispensables dans la journée de nos enfants,... conseils et idées.

     

    Manger tient une place importante dans la vie d'un enfant, aux journées rythmées par les repas.

    Mais le petit dejeuner et le goûter sont souvent plus difficiles que les autres repas.

     

    Petit, mais costaud !

    Le petit déjeuner, c'est un moment privilégié pour démarrer la journée en pleine forme, en puisant les nutriments indispensables à une bonne concentration toute la matinée. Un repas qui régule tous les autres apports : à la récréation du marin, un enfant qui a pris un petit déjeuner n'aura pas faim.

    Si le menu varie peu les premiers mois, tout est permie pour les plus grands et passé 9 mois.

    De 2 à 10 ans, à vous alors de veiller à l'équilibre du menu ! 

    Des céréales simples et complètes, pour "tenir" jusqu'au déjeuner, une boisson chaude ou froide, un produit laitier et, "cerise sur le gâteau", des fruits de saison, cuits ou secs.

    Pour patienter jusqu'au diner, on de régale au gouter ! 

    Rapide et léger, c'est tout de même un repas à part entière. Gare au gouter tardif : il faut laisser à l'organisme le temps de la digestion. 

    Plus le diner se rapproche plus le gouter doit etre léger! 

    A la crèche, c'est souvent vers 15h30/16h. Pour les grands c'est souvent 16h30/17h, au retour de l'école. On dinera vers 19h/19h30.

    Le gouter ne doit pas s'étendre dans le temps : on évite le grignotage et le paquet de biscuits en libre service à la cuisine. Et gare aun gouter répété, à la récré puis à la maison, c'est soit l'un soit l'autre !

     

    Moineau ou mini ogre?

    Certains n'ont pas d'appétit le matin. Pour un enfant, ça peut devenir problèmatique côté croissance ou attention en classe. Mais n'oubliez pas qu'un enfant à tendance à imiter les adultes qui l'entourent.

    Un p'tit déj en famille, c'est stimulant.

    Un menu varié, du choix sur la table, l'odeur du pain grillé et du chocolat pendant qu'il se prépare peuvent le mettre en appétit, car le petit déjeuner est nécessaire pour le rythme de sa prise de nourriture dans la journée.

    Un temps long sans manger crée une forte sensation de faim qui incite à la surconsommation lors du dîner.

    Mieux vaut proposer un vrai gouter et un repas du soir plus léger, ou un gouter léger (un fruit) et un dîner plus copieux.

     

    Accro à ce qui lui plaît !

    De 2 à 10 ans, l'enfant prend ses marques. Il ne sait pas encore choisir ce qui est bon pour lui et se tourne naturellement vers des saveurs peu marquées. A vous de concilier sa demande avec des aliments santé pour un repas équilibré et varié. Votre petit trésor peut râler ou se réjouir mais il n'a pas à décider seul de ce qu'il va manger. Cet apprentissage se fait dans la durée, avec patience et imagination.

    Mais il peut vite se réveler accro à certains aliments industriels, spécialement créées pour satisfaire son goût primaire. 

    Pâtes à tartiner, gâteaux, bonbons, boissons, desserts industriels.. lui plaisent, car ils sont conçus dans ce but et souvent très sucrés, salés et gras. Si vos enfants ne les connaissent pas, ne les réclament pas, attendez le plus possible avant de laisser entrer ses produits chez vous. Et quand les habitudes sont bien installées, laissez la porte ouverte à d'autres saveurs.

     

    Au menu demain ...

    Petit déjeuner :

    - Un bol de lait chocolaté ou un citron chaud au miel, deux tranches de pain et des fuits secs (dattes, raisins, figues) ou une part de fromage.

    - Une faisselle, une compote ou une purée de fruits, un demi pamplemousse des flocons de céréales (avoine, épeautre) avec graines de tournesol et amandes.

     

    Goûter :

    Deux tranches de pain beurrées recouvertes de rondelles de faise ou de banane, un verre de lait d'amande, de l'eau ou une boisson chaude.

    - Une part de gâteau fait maison (au yaourt, biscuit de savoie, madeleines), une purée de fruits et de l'eau.


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  • Refus, colères, période du non ... tous les parents pourront le confirmer, il y a vraiment des moments où il n'est pas facile d'être calme et serein en face d'un enfant qui semble décidé à nous contrarier.

    Rester zen? On aurait plutôt tendance à craquer !

     

     

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    Bébé n'a rien contre nous ! 

    Risque fréquent lors de conflits : se persuader que l'enfant s'oppose pour nous contrarier.

    Face aux caprices, les parents craignent souvent de perdre le conttrôle. Ils voient bébé comme un manipulateur désirant tout régenter. Du coup, il y a un désaccord profond entre "l'agression" de l'enfant qui refuse, par exemple de se coucher pour rester avec les parents et 'lagression-réponse" de ces derniers qui veulent être "seuls maîtres à bord".

    N'oubliez jamais que vos loustics s'opposent à une situation précise, pas à vous, cela vous évitera des réactions disproportionnées.

     

    En cas de crise 

    Pas question de céder sur tout ni de justifier la moindre décision parentale.

    En revanche, il nous faut absolument prendre un peu de recul. Essayez, la prochaine fois, que l'opposition "bébé-esque" montre le bout de son nez : ne réagissez pas tout de suite et relisez les quelques conseils qui suivent. 

     

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    Votre enfant ne veut pas dormir? 

    Essayez de vous mettre à la place de votre enfant le plus souvent possible adin de comprendre pourquoi il s'oppose, pourquoi il ne veut pas, pourquoi il ne fait pas exactement ce que l'on souhaiterait...

    Prenons exemple de la notion de temps. Imaginez la scène, d'un côté de maman qui veut que son bout'chou s'endorme au plus vite, de l'autre le bébé, qui n'a aucune envie de dormir, même s'il tombe de sommeil.... Un affrontement.

    Première règle : impossible de compter sur l'enfant pour qu'il apaise la situation ! Il est bien trop jeune pour ça, c'est à la maman de jouer.

    En bonne maman, elle veille au bien-être de son petit amour et sait, elle, qu'il faut se coucher tôt pour être en forme le lendemain. Seulement voilà, bébé n'a pas encore la notion de temps voir celle ci est limitée ou non acquise.

    Demain? bébé n'a aucune idée réelle de ce que cela signifie. Un enfant est dans l'immédiat ! 

    Ce qui compte, c'est que là, à cet instant précis, il veut rester avec sa mère. Et aucune chance qu'il comprenne une phrase du genre : "il faut que tu dormes maintenant, sinon, tu n'arriveras pas à te lever demain!".

     

     

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    A nous de composer.

    Cet exemple concret déjà d'y voir plus clair. Dans la plupart des conflits nous opposant à nos enfants, nous devons toujours essayer de nous mettre à leur place, et de comprendre qu'ils n'ont pas les mêmes notions du temps, de la fatigue, de la nourriture, du bruit, de la propreté etc, que nous.

    Et en plus, ils n'ont pas les moyens d'y changer grand chose.

    Il faut nous mettre à leur hauteur.

    Comment ? Chacun trouvera son astuce.

     

     

    Dans l'exemple précité, inutile d'essayer de raisonner bébé en parlat de l'éventuelle fatigue du lendemain si il ne s'endort pas illico. Cet argument n'a aucune valeur pour l'enfant. Alors il vaut mieux lui fixer une règle simple et sans appel, comme lui montrer la pendule en lui disant : "regarde, quand l'aiguille est là, maman sait qu'il est l'heure de dormir"!.

    Une explication un peu sommaire, mais qu'importe. L'essentiel est que votre enfant comprenne vos arguments, même s'il a toujours un peu de mal à les admettre... et à aller se coucher !


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  • Votre grand bébé est en âge de quitter les couches, on vous le répète; ou votre bébé à l'air de bien aimé le pot ou trouve rigolo la chasse d'eau? 

     

    Mais vous, parents, êtes vous prêts à quitter les couches?

     

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    savoir qu'il est prêt? 

     

    Pour quitter les couches, bébé doit être capable, physiquement en maîtrisant ses sphincters.

    Cela veut dire qu'il peut monter et descendre les escaliers debout. Après c'est la tête qui doit suivre.

    Il faut qu'il ait conscience de faire pipi ou caca dans sa couche. Pour le savoir, c'est simple, c'est lui qui le dit : "caca" " j'ai fais caca".

    Autre point, bébé commenceà dire "moi" ou "je". Cela signifie qu'il distingue sa personne des autres et qu'il est donc prêt à se "séparer" de son caca et de son pipi, car dans la tête de bébé, le caca et le pipi font encore partie de lui.

    Il n'y a pas d'âge précis pour quitter les couches, cela peut avoir lieu au plus tôt vers 15 mois et jusqu'à  l'entrée en maternelle à 3 ans.

     

    Et vous êtes vous vraiment disposés à le voir grandir ? 

     

     

    Un-bebe-tres-presse_carre_full.jpgC'est bébé qui choisit 

    Première règle : ce n'est pas vous qui imposez le moment, mais votre enfant qui décide.

    Gare au coup de pression de genre : "il faut que tu sois propre avant la rentrée".

    Pour la sieste et la nuit, ça prendra plus de temps, mais c'est pour plus tard : en général, dans les 6 mois qui suivront l'acquisition de la propreté de jour.

    Pour ce faire, il faut non seulement qu"il en soit assez mature, mais aussi qu'il ait envie ou qu'il en ait déjà entendu parler.

    S'il n'a pas d'aîné d'âge rapproché, commencez par lui mettre un pot, pour qu'il apprivoise l'objet.

    Posez-le dans un endroit intime (les toilettes ou la chambre) et proposez lui d'y aller.

     

    Le pot est un bon intermédiaire entre les couches et les wc : en plus d'y être confortable et de permettre à votre enfant de s'y asseoir sans aide, le caca et le pipi ne disparaissent pas tout de suite.

    Cette "disparition" dans le grand trou peut être très angoissante pour le tout-petit qui commence juste à réaliser que ça ne fait pas partie de lui.

    Vous pouvez également lui lire des histoires à ce sujet et  vous verrez comme il ou elle accroche.

     

    EVITER les phrases types comme : "tu vas être propre maintenant"

    voulez vous dire qu'il était sale avant?

     

    Maintenant que bébé aime se poser de temps en temps sur le pot, qu'il fait pipi une fois sur trois, vous supplie de tirer la chasse d'eau lui mêm ou vous demande de relire trois fois l'histoire de la petite souris qui fait pipi sur le pot, proposez lui d'enlever les couches dans la journée.

    Attention ! Enlever la couches, c'est l'enlever pour de bon ... et la remettre, c'est remettre à plus tard !

     

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    A vous de l'épauler 

     

    Vous, parents, vous n'avez pas grand chose à faire, car quand votre enfant est prêt, c'est un peu son affaire.

    La bonne attitude tient en trois mots : être confiants, patients et distants.

    N'oubliez pas d'en parler à la nounou, la crèche, les grands parents etc, afin d'accorder vos violons.

    Enlever les couches signifie d'abord ne pas les remettre à la première occasion risquée.

    Facile à dire, moins évident quand on part en voyage, en voiture ou en courses, ou qu'on l'amène à dîner chez des amis.

    Le petit accident arrivera sûrement. Pour ne pas céder à la panique, dès que vous sortez avec lui au tout début prévoyez un voire deux changes qui resteront toujours dans votre sac à main et des lingettes.

    Ne le laissez jamais avec des habits sales "pour qu'il apprenne". Enlever les couches n'est pas un apprentissage mais bien un stade de développement de l'enfant. 

    Il va y arriver seul si vous l'épaulez !

    N'oubliez pas de lui proposer le pot avant de sortir. N'insistez pas en cas de refus. Même si, au début, il y a des accidents, bébé apprendra à se gérer!

    La vessie a une bonne capacité, et si ça peut vous aider à ne pas vous inquiéter à sa place, sachez qu'aucun animal n'est incontinent !

    Bref, votre petit peut y arriver.

     

    Mais aussi ...

    Enlever les couches signifie aussi se faire une nouvelle copine : la machine à laver !

    A vous les lessives !

    Si vous n'en faites pas tous les jours, rincez les habits avant de les mettre au linge sale... les odeurs de pipi sont tenaces et ont tendance à envahir toute la maison. 

    Un conseil : pendant cette période de transition évitez les vêtements trop précieux ou inadaptés comme par exemple les salopettes qui sont top longues à enlever.

    Et puis surtout n'oubliez pas de féliciter votre enfant !

    Et si au bout de 2 jours sans couches, votre petit vous demande lui même de les remttre parce qu'il n'y arrive pas, c'est qu'il n'est pas prêt. Recommencez quelques semaines plus tard. Dans tous les cas, il ne doit pas sentir que vous y mettez trop d'enjeu. Sinon votre enfant risque de se bloquer.

     

    pot-bebeLes fausses astuces au pot 

     

    - Le réhausseur : posé sur les toilettes, il fait croire au petit qu'il est grand alors que ce n'est pas encore le cas. Pour certains, l'angoisse du trou qui fait tout disparaître peut être trop forte sur le grand trône.

    - Les récompenses : bannissez les idées comme " si tu y arrives, j'te donne un bonbon". Imaginez le jour où il n'y arrivera pas ! Il se sentira doublement puni.

    - Le laissez jouer des heures sur le pot : le petit est beaucoup plus rapide que les adultes aux toilettes (sauf cas de constipation). Au bout de 5 (vraies) minutes, dites vous que ça fait long !

    - Les pots qui applaudissent ou s'illuminent : c'est un peu destabilisant non ? 


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  • Marque d’affection naturelle et spontanée pour certains, pratique limite incestueuse pour d’autres, le sujet fait débat. Faut-il éviter d’embrasser son enfant sur la bouche ? Réponse d’une psy.

     

    Les bisous sur la bouche, c'est mal ?
     

    La bouille d’un petit bébé, c’est tellement craquant. Cet enfant qu’on a mis au monde, on pourrait passer des heures à l’admirer, lui faire des câlins, des caresses, des papouilles… Surtout des baisers, sur les pieds, sur le ventre et… sur la bouche. Une sensation douce agréable et partagée. Un moment de complicité unique, interdit ? Et cette question, est-ce mal d’embrasser son enfant sur la bouche ? Sujet récurrent qui interroge et divise les jeunes parents. Sur notre forum, les messages sont enflammés : « Je trouve ça  malsain », « J’embrasse mes garçons sur la bouche, et alors ? », « Ils sont tellement mignons lorsqu’ils mettent leur petite bouche en forme de poisson pour recevoir un bisou »… Dolto disait : « Une maman n'embrasse pas son enfant sur la bouche, un père non plus. » Et si l'enfant joue avec cette idée : « Il faut l'embrasser sur la joue et lui dire : mais non ! Toi je t'aime bien ; lui, je l'aime. Parce que c'est mon mari - ou parce que c'est ma femme. »

    « Les baisers sur la bouche appartiennent aux amoureux »

    La psychanalyste Catherine Bergeret-Amselek partage ce point de vue : « On doit éviter d’embrasser son enfant sur la bouche, même lorsqu’il est tout-petit, en tout cas ne pas en prendre l’initiative car cela lui procure une excitation qui n’est pas la bienvenue ». Et, poursuit la spécialiste : « d’un baiser innocent au bébé on peut tomber dans quelque-chose d’incestuel, de déplacé. L’enfant reçoit dans cet échange de baiser parental une excitation trop forte, invisible sur l’instant qui reste encryptée dans une sorte de mémoire du corps et c’est plus tard qu’elle peut avoir des effets négatifs, notamment dans l’installation du complexe d’Œdipe et sa résolution. »

    « Découvrir les sensations d’un baiser sur la bouche avec son parent, c’est incestuel. »

    Éviter les bisous sur la bouche ne veut évidemment pas dire faire l’impasse sur les câlins. Un tout-petit, et surtout un nouveau-né, est dans une situation de dépendance totale. Un bébé a besoin d’être touché avec douceur, d’être porté, bercé. « A partir d’un an, il a besoin d’un  portage déjà différent et le parent ne doit pas se nourrir des câlins qu’il prodigue pour combler ses manques, il a à faire à une petite personne, il a aussi besoin du contact paternel plus ferme et plus ludique », souligne la psychanalyste. Tout dépend aussi de l’âge de l’enfant, avant deux ans, cela n’a pas le même effet qu’entre 3 et 6. Par ailleurs, si votre enfant après 3 ans vous embrasse par surprise, pas question non plus de s’alarmer. « Dites-lui que maintenant il est grand et que ces baisers sont réservés aux amoureux, suggère Catherine Bergeret-Amselek . C’est une transition qui doit se faire naturellement, sans que cela devienne un tabou moralisateur.  »

    « C’est aux parents de mettre des limites »

     

    La plupart du temps, vient un moment où l’on se rend compte tout seul que ces bisous sur la bouche ne sont plus appropriés. Un nourrisson n’est pas un petit garçon ou une petite fille de 2 ou 3 ans. D’ailleurs, en grandissant, certains enfants redoutent les câlins trop rapprochés, à l’adolescence ils ne veulent souvent plus qu’on les touche. Pour Catherine Bergeret-Amselek , le plus important est que le parent ne soit pas demandeur et que ces baisers ne deviennent pas une sorte de rituel ou de jeu avec l’enfant. « Ce n’est pas pareil d’accueillir un baiser que de le susciter, insiste-t-elle. C’est aux parents de donner le la pour que cette situation ne s’installe pas. »


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  • Je vous donne ici quelques étapes clefs du développement d’un jeune enfant. Bien entendu, des disparités importantes peuvent se faire entre les enfants sur un point précis. La marche par exemple, est généralement acquise entre 10 et 18 mois. Ce n’est pas parce que votre enfant marchera à 10 mois qu’il sera nécessairement précoce intellectuellement. Il ne sera pas non plus en retard s’il marche à 18 mois. Il est naturel qu’un enfant enchaîne les acquisitions à son rythme et progressivement.

    C’est surtout en cas d’avance manifeste et simultanée dans plusieurs domaines différents qu’il faudra émettre l’hypothèse d’une éventuelle précocité intellectuelle.

    Etapes du développement

     

    Age normal

    30% d’avance

    Activités motrices de base

       
    Se rouler par terre 3 mois 2.1 mois
    S’asseoir seul 7 4.9
    Se tenir bien debout seul 11 7,7
    Marcher seul 12,5 8,8
    Monter des marches 18 12,6
    Tourner les pages d’un livre 18 12,6
    Bien courir 24 16,8
    Sauter avec ses pieds 30 21
    Conduire un tricycle en utilisant les pédales 36 25,2
    Lancer une balle 48 33,6
    Sauter d’un pied sur l’autre alternativement 60 42

    Motricité avancée

       
    Jouer avec une crécelle 3 2,1
    Tenir des objets entre son pouce et ses doigts 9 6,3
    Gribouiller spontanément 13 9,1
    Dessiner les gens avec un corps en deux parties 48 33,6
    Dessiner des personnes reconnaissables avec un corps 60 42
    Dessiner des personnes avec un cou, des mains et des vêtements 72 50,4

    Développement du langage

       
    Vocaliser deux sons différents 2,3 1,6
    Dire ses premiers mots 7,9 5,5
    Répondre à son nom 9 6,3
    Babiller avec intonation 12 8,4
    Vocabulaire de 4-6 mots 15 10,5
    Nommer un objet 17,8 12,5
    Vocabulaire de 20 mots 21 14,7
    Combiner spontanément plusieurs mots 21 14,7
    Utiliser des phrases simples 24 16,8
    Utiliser des pronoms personnels 24 16,8

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