Tous les parents se demandent si leurs enfants échapperont aux allergies. Mais comment les prévenir et les reconnaître?

L'histoire d'une allergie commence en famille, à travers le patrimoine génétique que nous transmettons à nos tout-petits.

Un enfant aurait ainsi 40% de chances de devenir allergique quand sa maman l'est déjà, 30 % si son père est concerné et 80% lorsque ses deux parents sont touchés.

La prévention : 

Le principe de précaution voudrait que vous évitiez d'exposer votre enfant à la substance qui déclenche chez vous une réaction.

Les mesures de préventon doivent donc être plus globales pour être efficaces. Elles reposent sur divers points.

- Pas de tabas en attendant votre bébé et à la maison après

la tabagisme passif et même ultra passif est nocif, car les rédidus de fumée restent présents dans l'habitat pendant des mois. Gare aux asthmatiques potentiels !

- Allaitez au moins 4 mois, idéalement six.

Cela renforce le système immunitaire et prévient d'éventuels dérèglements responsables de réactions allergiques.

- Diversifiez l'alimentation quand il faut et comme il faut.

Feu vert dès 5 mois si personne n'est allergique et attendez 6 mois dans le cas contraire. Principes de bases pour tous : un aliment à la fois à intervalle de quelques jours. Commencez par les viandes avant de proposer du poisson et de l'oeuf, qu'il convient de toujours bien cuire. Seule réserve : attendez 12 mois révolus pour les fruits exotiques.

- Chassez les acariens.

Ils sont partout ! Mais vous pouvez contrôler leur développement en éliminant, avec un chiffon humide, la poussière où ils aiment se loger. Aérez les pièces deux fois par jouret limitez la température à 19/20 ° maxi. Bannissez les moquettes, les tapis et les peluches et lavez les draps à 60° assez souvent.

- Evitez si possible, les animaux domestiques.

Le contact précoce avec le bétail à la ferme serait bénéfique... mais pas avec nos bêtes à poils. L'expérience montre que les parents se débarassent rarement de leur animal quand ils partagent leur vie depuis X années, lors de l'arrivée d'un bébé. Evitez au moins de prendre un animal à ce moment-là.

Si votre aîné veut absolument un animal, optez pour des poissons rouges.

Votre grand bébé est en âge de quitter les couches, on vous le répète; ou votre bébé à l'air de bien aimé le pot ou trouve rigolo la chasse d'eau? 

Mais vous, parents, êtes vous prêts à quitter les couches?

savoir qu'il est prêt? 

Pour quitter les couches, bébé doit être capable, physiquement en maîtrisant ses sphincters.

Cela veut dire qu'il peut monter et descendre les escaliers debout. Après c'est la tête qui doit suivre.

Il faut qu'il ait conscience de faire pipi ou caca dans sa couche. Pour le savoir, c'est simple, c'est lui qui le dit : "caca" " j'ai fais caca".

Autre point, bébé commenceà dire "moi" ou "je". Cela signifie qu'il distingue sa personne des autres et qu'il est donc prêt à se "séparer" de son caca et de son pipi, car dans la tête de bébé, le caca et le pipi font encore partie de lui.

Il n'y a pas d'âge précis pour quitter les couches, cela peut avoir lieu au plus tôt vers 15 mois et jusqu'à  l'entrée en maternelle à 3 ans.

Et vous êtes vous vraiment disposés à le voir grandir ? 

C'est bébé qui choisit 

Première règle : ce n'est pas vous qui imposez le moment, mais votre enfant qui décide.

Gare au coup de pression de genre : "il faut que tu sois propre avant la rentrée".

Pour la sieste et la nuit, ça prendra plus de temps, mais c'est pour plus tard : en général, dans les 6 mois qui suivront l'acquisition de la propreté de jour.

Pour ce faire, il faut non seulement qu"il en soit assez mature, mais aussi qu'il ait envie ou qu'il en ait déjà entendu parler.

S'il n'a pas d'aîné d'âge rapproché, commencez par lui mettre un pot, pour qu'il apprivoise l'objet.

Posez-le dans un endroit intime (les toilettes ou la chambre) et proposez lui d'y aller.

Le pot est un bon intermédiaire entre les couches et les wc : en plus d'y être confortable et de permettre à votre enfant de s'y asseoir sans aide, le caca et le pipi ne disparaissent pas tout de suite.

Cette "disparition" dans le grand trou peut être très angoissante pour le tout-petit qui commence juste à réaliser que ça ne fait pas partie de lui.

Vous pouvez également lui lire des histoires à ce sujet et  vous verrez comme il ou elle accroche.

EVITER les phrases types comme : "tu vas être propre maintenant"

voulez vous dire qu'il était sale avant?

Maintenant que bébé aime se poser de temps en temps sur le pot, qu'il fait pipi une fois sur trois, vous supplie de tirer la chasse d'eau lui mêm ou vous demande de relire trois fois l'histoire de la petite souris qui fait pipi sur le pot, proposez lui d'enlever les couches dans la journée.

Attention ! Enlever la couches, c'est l'enlever pour de bon ... et la remettre, c'est remettre à plus tard !

A vous de l'épauler 

Vous, parents, vous n'avez pas grand chose à faire, car quand votre enfant est prêt, c'est un peu son affaire.

La bonne attitude tient en trois mots : être confiants, patients et distants.

N'oubliez pas d'en parler à la nounou, la crèche, les grands parents etc, afin d'accorder vos violons.

Enlever les couches signifie d'abord ne pas les remettre à la première occasion risquée.

Facile à dire, moins évident quand on part en voyage, en voiture ou en courses, ou qu'on l'amène à dîner chez des amis.

Le petit accident arrivera sûrement. Pour ne pas céder à la panique, dès que vous sortez avec lui au tout début prévoyez un voire deux changes qui resteront toujours dans votre sac à main et des lingettes.

Ne le laissez jamais avec des habits sales "pour qu'il apprenne". Enlever les couches n'est pas un apprentissage mais bien un stade de développement de l'enfant. 

Il va y arriver seul si vous l'épaulez !

N'oubliez pas de lui proposer le pot avant de sortir. N'insistez pas en cas de refus. Même si, au début, il y a des accidents, bébé apprendra à se gérer!

La vessie a une bonne capacité, et si ça peut vous aider à ne pas vous inquiéter à sa place, sachez qu'aucun animal n'est incontinent !

Bref, votre petit peut y arriver.

Mais aussi ...

Enlever les couches signifie aussi se faire une nouvelle copine : la machine à laver !

A vous les lessives !

Si vous n'en faites pas tous les jours, rincez les habits avant de les mettre au linge sale... les odeurs de pipi sont tenaces et ont tendance à envahir toute la maison. 

Un conseil : pendant cette période de transition évitez les vêtements trop précieux ou inadaptés comme par exemple les salopettes qui sont top longues à enlever.

Et puis surtout n'oubliez pas de féliciter votre enfant !

Et si au bout de 2 jours sans couches, votre petit vous demande lui même de les remttre parce qu'il n'y arrive pas, c'est qu'il n'est pas prêt. Recommencez quelques semaines plus tard. Dans tous les cas, il ne doit pas sentir que vous y mettez trop d'enjeu. Sinon votre enfant risque de se bloquer.

Les fausses astuces au pot 

- Le réhausseur : posé sur les toilettes, il fait croire au petit qu'il est grand alors que ce n'est pas encore le cas. Pour certains, l'angoisse du trou qui fait tout disparaître peut être trop forte sur le grand trône.

- Les récompenses : bannissez les idées comme " si tu y arrives, j'te donne un bonbon". Imaginez le jour où il n'y arrivera pas ! Il se sentira doublement puni.

- Le laissez jouer des heures sur le pot : le petit est beaucoup plus rapide que les adultes aux toilettes (sauf cas de constipation). Au bout de 5 (vraies) minutes, dites vous que ça fait long !

- Les pots qui applaudissent ou s'illuminent : c'est un peu destabilisant non ? 

Appuyez là où il faut pour vous sentir parfaitement bien !

Pour améliorer l acuité visuelle reposez vos yeux :

Vous travaillez devant un écran ou lisez beaucoup ? Détendez les muscles de vos yeux et améliorez : massez doucement avec l'index et le pouce d'une main les deux points en dessous des sourcils situés juste à la naissance du nez. Ne dépassez pas les 30 secondes.

Pour rester mince, atténuer votre appétit :

Le point à presser se trouve sur le bras au milieu entre l'épaule et le coude. Massez ce point avant chaque repas pendant 30 secondes légèrement avec l'index sur les deux bras. Un autre point qui freine l'envie de manger : appuyez au milieu du creux entre le nez et la lèvre supérieur.

Pour voyager mieux, atténuez le mal des transports :

Tournez la paume d'une de vos mains vers le plafond: placez trois doigts de l'autre main en parallèle sur le poignet intérieur au dessus de la naissance du poignet.

Le point qui calme les nausées de transport se trouve juste au milieu, à coté du tendon.

Pressez ce point avec le pouce, pas trop fort, pendant 2 minutes. Les autres doigts soutiennent l'articulation de la main d'en bas. Changez de coté. Appuyez jusqu'à ce que les nausées aient disparu.Les bracelet contre le mal des transports fonctionnent, d'ailleurs, de la même façon.

Pour vous détendre, combattez l'angoisse et l'énervement :

Avec le majeur, massez simultanément les 2 côtés extérieurs des genoux. Le point se trouve à une distance de 4 doigts en dessous du genou. Massez 2 à 5 minutes.

Pour des règles indolores, stoppez les maux de tête et de ventre : 

Massez doucement avec le pouce le point situé sur le dos de la main, dans le creux entre le petit doigt et l'annulaire, pendant une à deux minutes, massez plusieurs fois par jour les deux mains.

Pour combattre la fatigue, retrouvez le sommeil :

Si vous souffrez d'insomnies, une acupression du lobe d'une oreille pourrait vous aider. Restez couché et massez doucement le lobe placé entre l'index et le pouce. Une minute devrait suffire.

Pour vous sentir plus léger / légère, digérez mieux : 

Le point se situe environ 5 centimètres en dessous le nombril. Massez doucement avec l'index, il est recommandé de rester couchée sur le dos pendant 5 minutes.

Pour mieux vous oxygénez, libérez les voies respiratoires : 

Massez vigoureusement le point situé au milieu du pli du coude : posez le coude droit légèrement fléchi dans la main gauche et massez le point 3 minutes avec le pouce, changez de côté. Selon la medecine chinoise, ce point est situé sur le méridien des poumons et peut aider également contre la toux.

Marque d’affection naturelle et spontanée pour certains, pratique limite incestueuse pour d’autres, le sujet fait débat. Faut-il éviter d’embrasser son enfant sur la bouche ? Réponse d’une psy.

La bouille d’un petit bébé, c’est tellement craquant. Cet enfant qu’on a mis au monde, on pourrait passer des heures à l’admirer, lui faire des câlins, des caresses, des papouilles… Surtout des baisers, sur les pieds, sur le ventre et… sur la bouche. Une sensation douce agréable et partagée. Un moment de complicité unique, interdit ? Et cette question, est-ce mal d’embrasser son enfant sur la bouche ? Sujet récurrent qui interroge et divise les jeunes parents. Sur notre forum, les messages sont enflammés : « Je trouve ça  malsain », « J’embrasse mes garçons sur la bouche, et alors ? », « Ils sont tellement mignons lorsqu’ils mettent leur petite bouche en forme de poisson pour recevoir un bisou »… Dolto disait : « Une maman n'embrasse pas son enfant sur la bouche, un père non plus. » Et si l'enfant joue avec cette idée : « Il faut l'embrasser sur la joue et lui dire : mais non ! Toi je t'aime bien ; lui, je l'aime. Parce que c'est mon mari - ou parce que c'est ma femme. »

« Les baisers sur la bouche appartiennent aux amoureux »

La psychanalyste Catherine Bergeret-Amselek partage ce point de vue : « On doit éviter d’embrasser son enfant sur la bouche, même lorsqu’il est tout-petit, en tout cas ne pas en prendre l’initiative car cela lui procure une excitation qui n’est pas la bienvenue ». Et, poursuit la spécialiste : « d’un baiser innocent au bébé on peut tomber dans quelque-chose d’incestuel, de déplacé. L’enfant reçoit dans cet échange de baiser parental une excitation trop forte, invisible sur l’instant qui reste encryptée dans une sorte de mémoire du corps et c’est plus tard qu’elle peut avoir des effets négatifs, notamment dans l’installation du complexe d’Œdipe et sa résolution. »

« Découvrir les sensations d’un baiser sur la bouche avec son parent, c’est incestuel. »

Éviter les bisous sur la bouche ne veut évidemment pas dire faire l’impasse sur les câlins. Un tout-petit, et surtout un nouveau-né, est dans une situation de dépendance totale. Un bébé a besoin d’être touché avec douceur, d’être porté, bercé. « A partir d’un an, il a besoin d’un  portage déjà différent et le parent ne doit pas se nourrir des câlins qu’il prodigue pour combler ses manques, il a à faire à une petite personne, il a aussi besoin du contact paternel plus ferme et plus ludique », souligne la psychanalyste. Tout dépend aussi de l’âge de l’enfant, avant deux ans, cela n’a pas le même effet qu’entre 3 et 6. Par ailleurs, si votre enfant après 3 ans vous embrasse par surprise, pas question non plus de s’alarmer. « Dites-lui que maintenant il est grand et que ces baisers sont réservés aux amoureux, suggère Catherine Bergeret-Amselek . C’est une transition qui doit se faire naturellement, sans que cela devienne un tabou moralisateur.  »

« C’est aux parents de mettre des limites »

La plupart du temps, vient un moment où l’on se rend compte tout seul que ces bisous sur la bouche ne sont plus appropriés. Un nourrisson n’est pas un petit garçon ou une petite fille de 2 ou 3 ans. D’ailleurs, en grandissant, certains enfants redoutent les câlins trop rapprochés, à l’adolescence ils ne veulent souvent plus qu’on les touche. Pour Catherine Bergeret-Amselek , le plus important est que le parent ne soit pas demandeur et que ces baisers ne deviennent pas une sorte de rituel ou de jeu avec l’enfant. « Ce n’est pas pareil d’accueillir un baiser que de le susciter, insiste-t-elle. C’est aux parents de donner le la pour que cette situation ne s’installe pas. »

Même si elle ne représente au final que quelques mois dans une vie, la grossesse est une étape à part, à l'origine de nombreux bouleversements pour une femme. En se préparant à donner la vie, le corps s'arrondit et prend des formes, au point d'angoisser certaines futures mamans, inquiètes à l'idée de perdre leur féminité et de ne pas retrouver leur corps après la naissance. Mais, s'il faut laisser le temps à la nature de faire son œuvre, il est également possible de prendre les choses en main, en choisissant notamment des vêtements adaptés et en prenant soin de sa poitrine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui, la grossesse est vécue comme une période épanouissante dans la vie des femmes, et non plus comme un passage obligé pour devenir maman. Et dans cette aspiration à être sereine tout en restant féminine, le choix des vêtements a toute son importance. Même s'ils offrent un confort certain, les traditionnels joggings-baskets ne constituent plus le seul et unique look vestimentaire permis pendant ces neuf mois.

Sans parler pour autant de chausser des escarpins dont la hauteur de talons ferait frémir n'importe quelle sage-femme, on peut parfaitement envisager de rester féminine et tendance, tout en optant pour des vêtements confortables. Les enseignes dédiées à la maternité fleurissent sur internet, et les robes, jupes, jeans, leggings et autres pantalons et shorts sont largement accessibles aux femmes enceintes, dans les styles les plus variés, des plus classiques aux plus fantaisistes.

 

Tout en exhibant fièrement son ventre rebondi, mis en valeur par des couleurs et des coupes ajustées, on veillera donc à choisir des vêtements dans lesquels on se sent bien, et ce tout au long de la journée. De même, si le corps entier est soumis à rude épreuve pendant une grossesse, la poitrine est une partie particulièrement concernée et sensible, qui doit à ce titre faire l'objet de la plus grande attention.

 

Un soutien-gorge adapté

Et pour cela, il est essentiel de choisir un soutien-gorge adapté, tenant compte de l'évolution de la poitrine de mois en mois. Même s'il est couramment admis que le tour de poitrine et le bonnet augmentent d'une taille au cours d'une grossesse, il convient néanmoins de choisir son modèle avec le plus grand soin. Tout dépend en effet de chaque femme et de la façon dont évolue son corps.

Opter pour un soutien-gorge plus grand d'une taille par rapport à sa taille habituelle ne sera peut-être pas la solution pour toutes les femmes enceintes. Le mot d'ordre étant maintien et confort, il appartient à chacune de trouver le modèle dans lequel elle se sentira bien. Le choix est vaste comme le montre par exemple le rayon soutien-gorge des 3 Suisses. De même, les soutiens-gorge d'allaitement peuvent être une alternative, à condition encore une fois qu'ils soient adaptés et qu'ils conviennent aux besoins de la femme.

Corbeille, emboîtant, bandeau, avec ou sans armatures ou encore de maternité, le soutien-gorge est l'allié d'une grossesse épanouie et féminine, et le garant d'une féminité préservée.

 

 

Quel vêtement choisit-on ?

• Durant l’été, vous devez mettre à côté les pantalons. Pour être en bonne forme, choisissez les robes et les tuniques. Pour mettre en valeur votre nouvelle silhouette, préférez les matières moulantes. Concernant la coupe, le frome housse, empire ou les robes longues sont parmi les tendances. Durant les trois premiers mois de la grossesse, la peau est plus belle. Profitez de cette occasion pour mettre en valeur votre décolleté. Mais avant toute chose, n’oubliez pas que durant cette période, votre atout c’est votre ventre. Essayez de mettre en valeur cette partie de votre corps. Concernant les matières, évitez les synthétiques car elles peuvent augmenter  les risques d’allergie. Les tissus en matière douce et naturelle telle que le coton, le lin, la soie ou la laine… sont à votre disposition.

• Pendant l’hiver, les robes et les pulls tuniques sont au top. Pour avoir chaud, optez pour une veste ou un manteau. N’oubliez pas qu’il est fortement probable que vous ne trouverez pas un manteau qui couvrira votre ventre. Durant cette période, le poncho pourra également vous aider à la place des manteaux. Prenez également un collant spécial grossesse pour protéger vos jambes, et pour avoir chaud.
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Rester chic en étant enceinte

Actuellement, nombreuses créations sont conçues pour mettre en valeur la silhouette durant la période de grossesse. Pour mettre en valeur le ventre, le décolleté ainsi que les jambes ; optez pour les robes de grossesse ou les leggings. En effet,  les tuniques en col V mettront en valeur le décolleté. Pour le ventre, choisissez les ceintures de grossesse. Elles sont disponibles sous différents coloris, que vous pouvez coordonner avec les autres accessoires comme le sac à main. N’oubliez pas que les femmes enceintes ne sont pas obligées de porter des robes à fleurs, ou encore des pulls. En effet, être enceinte mais bien habillée restera un bon souvenir. Actuellement, les slims sont au top, si vous l’aimez, osez. Divers évènements tels que les soirées sont parmi les occasions pour les femmes enceintes de porter des robes longues, des petites jupes, ainsi que du décolleté.

 

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Les tenues idéales pour une femme enceinte

Même si vous êtes enceinte, vous n’êtes pas obligée de mettre des vêtements larges. Durant les trois premiers mois, misez sur les vêtements stretch. Portez aussi des hauts blousants, ou des pantalons taille basse. À partir du troisième mois, portez des vêtements de votre style. Voici quelques idées :

• Tenue citadine avec une jupe évasée et un tee-shirt col roulé. Quel que soit le style, le choix de la matière est primordial.

• Tenue décontractée, avec un pull col en V rayé est au top. Pour le bas, choisissez un jean coupe droite.

Actuellement, les grandes enseignes proposant des lignes maternité à des prix très abordables sont nombreuses. Vous pouvez trouver divers articles qui vous conviennent au fur et à mesure que votre ventre grossit. Il existe des basiques tels que le débardeur classique ; qui sont à votre disposition durant la grossesse. Si votre morphologie est bien proportionnée, portés entrouverte la chemise de votre mari, c’est très sexy et confortable. Portez avec un jean, c’est un très bon basique pendant votre grossesse. Concernant la couleur, vous pouvez profiter des belles couleurs gourmandes qui vont rayonner votre forme et votre teint. En effet, n’oubliez pas que la grossesse n’est pas une maladie. Privilégiez également les autres accessoires comme les soutiens-gorge de grossesse. En effet, durant cette période, votre poitrine devra être bien soutenue. Si cette dernière est beaucoup plus forte, portez les soutiens-gorge même en dormant. Ceci permet de protéger les tissus fragilisés.

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