• Les yeux de votre tout petit pleurent sans arrêt, mais ces larmes n'ont rien à voir avec un gros chagrin. 

    Voici quelques petits conseils pour parvenir à les sécher.

     

    Le problème

    Du matin au soir, d'intarissables larmes embuent les yeux de votre enfant. Elles sont parfois même accompagnées de sécrétions étranges. Elles vous inquiètent et vous ne savez pas comment les arrêter.

     

    Qui cela perturbe?

    Votre enfant. Ses yeux sont parfois collés.

    Vous. Vous ne supportez pas de voir votre enfant indisposé et vous vous sentez impuissant.

     

    Au cas par cas la solution.

     

    Ses larmes sont claires.

    Le nez, les yeux, ça n'arrête pas de couler... de vraies chutes du niagara ! Pas de quoi paniquer, votre enfant est enrhumé. Sa conjonctive, le fible membrane qui recouvre l'oeil réagit au virus.

    - Nettoyer régulièrement ses yeux avec du serum physiologique et des compresses stériles pendant plusieurs jours. Les larmes disparaîront en même temps que le rhume. Cependant, consultez un médecin en cas de modification des symptômes.

    Ce qu'il faut lui dire : "je vais te nettoyer l'oeil pour que tu sois moins géné par les larmes".

     

    Ses yeux sont chargés de sécrétions.

    Votre enfant se frotte l'oeil voir les yeux. C'est douloureux. Ses yeux sont rouges, les paupières sont gonflées. Au réveil, des sécrétions purulentes collent les yeux et les cils. Il s'agit de blablement d'une conjonctivite, infection virale ou bactérienne de la conjonctive.

    Ce qu'ilfaut faire. 

    Lavez vous bien les mains,car la conjonctivite est extrêment contagieuse et consultez.

    Le médecin ordonnera un nettoyage draconien au sérum physiologique et compresses stériles. Il prescrira un collyre approprié au type de la conjonctivite, virale ou bactérienne. Vous devrez présenter l'ordonnance du médecin à la crèche, sans quoi votre enfant sera exclu pour limiter les risques de contagion.

    Ce qu'il faut lui dire : "on va te mettre des gouttes dans les yeux. Cela va te soulager".

     

    Son oeil refuse de s'ouvrir 

    Un seul oeil larmoie. Il est irrité. Votre enfant ne parvient pas à l'ouvrir et souffre. La lumière l'indispose. Un corps étranger - grain de sable, poussière ou brin d'herbe - s'est certainement glissé entre sa paupière et l'oeil.

    Ce qu'il faut faire : Rincez abondamment avec du sérum physiologique et une compresse stréile. Si l'oeil ne s'ouvre toujours pas, aller aux urgences ou chez un ophtalmologiste. Le médecin retirera le corps étranger. Il prescrira ensuite un collyre qui soulagera et guérira l'oeil de votre enfant.

    Ce qu'il faut lui dire : "ne t'inquiète pas, le médecin va enlever ce qui le gène dans l'oeil. Après, tu n'auras plus mal."


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  • Vous découvrez une excroissance au niveau du nombril ou du pli de l'aine de votre bébé. Et cette petite boule prend du volume à ses moindres efforts. 

    C'est probablement une hernie.

     

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    Le problème
     

     

    Le nombril ou l'aine de votre nourisson présente une inquiétante protubérance. Cette boule grossit à l'effort et se réduit lorsqu'on appuie dessus.

     

    Qui cela perturbe?

    Votre enfant. Il est observé sous toutes les coutures et ressent votre anxiété.

    Vous. Vous êtes angoissée par l'apparition de cette excroissance. Vous êtes stressée à chaque fois que vous déshabillez votre bébé.

     

    Au cas par cas la solution

    L'hernie ombilicale

    Cette masse est formée par la saillie plus ou moins volumineuse d'une petite portion de l'intestin au travers d'un orifice naturel qui aurait dû se fermer à la naissance mais qui ne l'est pas.

    Indolore, cette hernie augmente au moment de la toux, de ses cris. Elle rentre quand on appuie dessus. On sent alors un léger gargouillis.

    Ce qu'il faut faire. Patienter. Due à une immaturité bénine, la fermeture de l'anneau ombilical peut prendre parfois trois ans. Assez fréquente, l'hernie ombilicale, même si elle peut être impressionnante, est rarement grave. Consultez si vous n'arrivez plus à la rentrer et si de surcoît votre bébé vomit. Il s'agit éventuellement d'un étranglement de l'hernie qui nécessitera une petite intervention chirurgicale.

     

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    L'hernie inguinale du petit garçon

    Là encore, une portion de l'intestin vient se loger dans un orifice naturel qui n'a pas encire eu le temps de se refermer. C'est pour cela que cette hernie localisée au pli de l'aine est plus fréquente chez les bébés prématurés. Le plus souvent localisée à droite, elle est parfois associée à un testicule mal placé, qu'on ne voit pas. 

    Ce qu'il faut faire. Consultez dès que vous avez remarqué la présence de cette boule impulsive à la toux, aux pleurs et réductible à la main. Votre petit bonhomme sera opéré relativement rapidemment. C'est une intervention simple et sans danger. Rdv à l'hôpital si vous constater que votre enfnat a mal, que la boule ne rentre pas à la pression et qu'il vomit. Bien que rare, l'étranglement hernien est une véritable urgence chirurgicale.

     

    L'hernie inguinale de la petite fille.

    Très rare chez la petite fille, l'hernie inguinale est le plus souvent une hernie de l'ovaire. Surtout, n'appuyez pas dessus comme dans les cas précédents pour essayer de la réduire. Cette manipulation pourrait léser l'ovaire.

    Ce qu'il faut faire. Consultez sans hésiter à la moindre apparition d'une grosseur au niveau de l'aine de votre petite fille. Le médecin vérifira qu'il ne s'agit pas d'un ganglion consécutif à une vaccination. Si c'est bien une hernie de l'ovaire, il faudra opérer dans les jours qui suivrint. Cela consiste en une intervention simple et facile.


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  • Moment de plaisir et d'équilibre, gage de forme pour vos bout de chou, ne rater pas ces deux étapes indispensables dans la journée de nos enfants,... conseils et idées.

     

    Manger tient une place importante dans la vie d'un enfant, aux journées rythmées par les repas.

    Mais le petit dejeuner et le goûter sont souvent plus difficiles que les autres repas.

     

    Petit, mais costaud !

    Le petit déjeuner, c'est un moment privilégié pour démarrer la journée en pleine forme, en puisant les nutriments indispensables à une bonne concentration toute la matinée. Un repas qui régule tous les autres apports : à la récréation du marin, un enfant qui a pris un petit déjeuner n'aura pas faim.

    Si le menu varie peu les premiers mois, tout est permie pour les plus grands et passé 9 mois.

    De 2 à 10 ans, à vous alors de veiller à l'équilibre du menu ! 

    Des céréales simples et complètes, pour "tenir" jusqu'au déjeuner, une boisson chaude ou froide, un produit laitier et, "cerise sur le gâteau", des fruits de saison, cuits ou secs.

    Pour patienter jusqu'au diner, on de régale au gouter ! 

    Rapide et léger, c'est tout de même un repas à part entière. Gare au gouter tardif : il faut laisser à l'organisme le temps de la digestion. 

    Plus le diner se rapproche plus le gouter doit etre léger! 

    A la crèche, c'est souvent vers 15h30/16h. Pour les grands c'est souvent 16h30/17h, au retour de l'école. On dinera vers 19h/19h30.

    Le gouter ne doit pas s'étendre dans le temps : on évite le grignotage et le paquet de biscuits en libre service à la cuisine. Et gare aun gouter répété, à la récré puis à la maison, c'est soit l'un soit l'autre !

     

    Moineau ou mini ogre?

    Certains n'ont pas d'appétit le matin. Pour un enfant, ça peut devenir problèmatique côté croissance ou attention en classe. Mais n'oubliez pas qu'un enfant à tendance à imiter les adultes qui l'entourent.

    Un p'tit déj en famille, c'est stimulant.

    Un menu varié, du choix sur la table, l'odeur du pain grillé et du chocolat pendant qu'il se prépare peuvent le mettre en appétit, car le petit déjeuner est nécessaire pour le rythme de sa prise de nourriture dans la journée.

    Un temps long sans manger crée une forte sensation de faim qui incite à la surconsommation lors du dîner.

    Mieux vaut proposer un vrai gouter et un repas du soir plus léger, ou un gouter léger (un fruit) et un dîner plus copieux.

     

    Accro à ce qui lui plaît !

    De 2 à 10 ans, l'enfant prend ses marques. Il ne sait pas encore choisir ce qui est bon pour lui et se tourne naturellement vers des saveurs peu marquées. A vous de concilier sa demande avec des aliments santé pour un repas équilibré et varié. Votre petit trésor peut râler ou se réjouir mais il n'a pas à décider seul de ce qu'il va manger. Cet apprentissage se fait dans la durée, avec patience et imagination.

    Mais il peut vite se réveler accro à certains aliments industriels, spécialement créées pour satisfaire son goût primaire. 

    Pâtes à tartiner, gâteaux, bonbons, boissons, desserts industriels.. lui plaisent, car ils sont conçus dans ce but et souvent très sucrés, salés et gras. Si vos enfants ne les connaissent pas, ne les réclament pas, attendez le plus possible avant de laisser entrer ses produits chez vous. Et quand les habitudes sont bien installées, laissez la porte ouverte à d'autres saveurs.

     

    Au menu demain ...

    Petit déjeuner :

    - Un bol de lait chocolaté ou un citron chaud au miel, deux tranches de pain et des fuits secs (dattes, raisins, figues) ou une part de fromage.

    - Une faisselle, une compote ou une purée de fruits, un demi pamplemousse des flocons de céréales (avoine, épeautre) avec graines de tournesol et amandes.

     

    Goûter :

    Deux tranches de pain beurrées recouvertes de rondelles de faise ou de banane, un verre de lait d'amande, de l'eau ou une boisson chaude.

    - Une part de gâteau fait maison (au yaourt, biscuit de savoie, madeleines), une purée de fruits et de l'eau.


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  • Refus, colères, période du non ... tous les parents pourront le confirmer, il y a vraiment des moments où il n'est pas facile d'être calme et serein en face d'un enfant qui semble décidé à nous contrarier.

    Rester zen? On aurait plutôt tendance à craquer !

     

     

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    Bébé n'a rien contre nous ! 

    Risque fréquent lors de conflits : se persuader que l'enfant s'oppose pour nous contrarier.

    Face aux caprices, les parents craignent souvent de perdre le conttrôle. Ils voient bébé comme un manipulateur désirant tout régenter. Du coup, il y a un désaccord profond entre "l'agression" de l'enfant qui refuse, par exemple de se coucher pour rester avec les parents et 'lagression-réponse" de ces derniers qui veulent être "seuls maîtres à bord".

    N'oubliez jamais que vos loustics s'opposent à une situation précise, pas à vous, cela vous évitera des réactions disproportionnées.

     

    En cas de crise 

    Pas question de céder sur tout ni de justifier la moindre décision parentale.

    En revanche, il nous faut absolument prendre un peu de recul. Essayez, la prochaine fois, que l'opposition "bébé-esque" montre le bout de son nez : ne réagissez pas tout de suite et relisez les quelques conseils qui suivent. 

     

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    Votre enfant ne veut pas dormir? 

    Essayez de vous mettre à la place de votre enfant le plus souvent possible adin de comprendre pourquoi il s'oppose, pourquoi il ne veut pas, pourquoi il ne fait pas exactement ce que l'on souhaiterait...

    Prenons exemple de la notion de temps. Imaginez la scène, d'un côté de maman qui veut que son bout'chou s'endorme au plus vite, de l'autre le bébé, qui n'a aucune envie de dormir, même s'il tombe de sommeil.... Un affrontement.

    Première règle : impossible de compter sur l'enfant pour qu'il apaise la situation ! Il est bien trop jeune pour ça, c'est à la maman de jouer.

    En bonne maman, elle veille au bien-être de son petit amour et sait, elle, qu'il faut se coucher tôt pour être en forme le lendemain. Seulement voilà, bébé n'a pas encore la notion de temps voir celle ci est limitée ou non acquise.

    Demain? bébé n'a aucune idée réelle de ce que cela signifie. Un enfant est dans l'immédiat ! 

    Ce qui compte, c'est que là, à cet instant précis, il veut rester avec sa mère. Et aucune chance qu'il comprenne une phrase du genre : "il faut que tu dormes maintenant, sinon, tu n'arriveras pas à te lever demain!".

     

     

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    A nous de composer.

    Cet exemple concret déjà d'y voir plus clair. Dans la plupart des conflits nous opposant à nos enfants, nous devons toujours essayer de nous mettre à leur place, et de comprendre qu'ils n'ont pas les mêmes notions du temps, de la fatigue, de la nourriture, du bruit, de la propreté etc, que nous.

    Et en plus, ils n'ont pas les moyens d'y changer grand chose.

    Il faut nous mettre à leur hauteur.

    Comment ? Chacun trouvera son astuce.

     

     

    Dans l'exemple précité, inutile d'essayer de raisonner bébé en parlat de l'éventuelle fatigue du lendemain si il ne s'endort pas illico. Cet argument n'a aucune valeur pour l'enfant. Alors il vaut mieux lui fixer une règle simple et sans appel, comme lui montrer la pendule en lui disant : "regarde, quand l'aiguille est là, maman sait qu'il est l'heure de dormir"!.

    Une explication un peu sommaire, mais qu'importe. L'essentiel est que votre enfant comprenne vos arguments, même s'il a toujours un peu de mal à les admettre... et à aller se coucher !


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